J'ai visité Bédée
(Ille-et-Vilaine)

 

 

J'ai fait tourner la roue pour l'OuBaPo

A Rouen, lors du festival « Les Index », l'Oubapo a fait une performance : huit dessinateurs exécutaient en public des strips dont le thème de chaque case était tiré au sort au moyen d'une roue sur laquelle étaient inscrits des mots. Je tournais la roue : c'est pourquoi Patrice Killoffer et Etienne Lécroart ont cru drôle de me représenter dans deux cases (thèmes respectifs : « Quatre-saisons » et « Limace »).

Je dis des choses intéressantes
lors des réunions de l'OuBaPo

Petit exercice oubapien à quatre mains : les dessins 1et 4 sont de Lewis Trondheim, les 2 et 3 d'Etienne Lécroart (l'un ne sachant pas ce que l'autre dessine). Le rappel à l'ordre de la case 3 me représente (Etienne Lécroart n'ayant recours qu'à sa mémoire, la ressemblance laisse à désirer).

J'ai été croqué par Menu
à Cerisy

Colloque La Transécriture : pour une théorie de l'adaptation, Cerisy-la-Salle, 1993, sous la direction de Thierry Groensteen et André Gaudreault. Case extraite de la bande dessinée Livret de phamille de Jean-Christophe Menu (L'Associa-tion, 1995).

J'ai été coulé dans le ciment
par Etienne Lécroart !


Merci à Jacques Samson pour la photo

A Angoulême, devant le CNBDI (Centre national de la bande dessinée et de l'image), s'étale le « Parvis des stars » : de nombreux dessinateurs illustres y réalisent des plaques en ciment modelées, peintes et vernies, qui sont scellées dans le dallage.

Etienne Lécroart, en apportant sa pierre à l'édifice (dalle n°52), m'a joué un tour. Sa baigneuse, qui s'adresse à deux jambes sortant de l'eau, dit (c'est la seule « bulle » du parvis) : « Remonte, Gilles, le ciment va prendre ! ». Sacré Etienne ! Le plus drôle, c'est que quelques jours après avoir découvert ce gag, je me suis cassé le pied. Bon pour un plâtre !

J'ai épaté
Lewis Trondheim

En fin de soirée, dans les rues désertes d'Angoulême, je raconte à Lewis Trondheim la parabole de l'aquarium dont se servait un professeur pour expliquer à ses étudiants la gestion intelligente d'un emploi du temps. Lewis restitue cette conversation dans son Journal en bande dessinée, La Malédiction du parapluie (Les Petits Riens, tome I, collection "Shampooing", Delcourt, 2006). Je ne suis physiquement pas très à mon avantage, mais Lewis est visiblement épaté par la démonstration...

J'ai été croqué à l'Université d'été de la bande dessinée

A Angoulême encore, en juillet 2006, le CNBDI a organisé une Université d'été de la bande dessinée. J'y ai fait une communication sur la bande dessinée parmi les pratiques culturelles des Français. Les dessinateurs Tanitoc (ci-dessus) et Olivier Bramanti (à droite) étaient présents, qui ont immortalisé l'instant. Le premier avait fait l'école buissonnière, le second m'a croqué micro à la main...

 

Ma famille est un cadeau

Pour mon mariage, le 17 septembre 2005, Emmanuel Guibert m'a fait l'honneur de m'offrir un dessin pour le faire-part. Il m'a dessiné, présentant mon fils Nemo à ma femme Mireille qui me présente notre autre fils, Ulysse.

"Bon sang ne saurait mentir"

 

Le même Emmanuel Guibert a imaginé la scène de mon mariage comme un dessin humoristique. Positif étant le titre de la revue mensuelle de cinéma dans laquelle je publie la plupart de mes écrits sur le cinéma d'animation.
Une famille givrée

 

Selon François Ayroles, mes fils Nemo et Ulysse, en assistant au mariage de leurs parents, se demandent quelle mouche a bien pu les piquer...

Mon mariage
sens dessus dessous

Pour notre mariage, Etienne Lécroart nous a offert ce dessin très astucieux, "upside-down" présentant ma femme, en petite tenue et sous son nom de jeune fille (Mireille Roulet). Si l'on retourne le dessin (passer la souris dessus), on a la surprise de me découvrir (encore une fois pas très à mon avantage), sous mon nom...